Quelles sont les clés pour réussir dans le secteur B2B aujourd'hui ?
Je me demandais, en fait, ce qui fait vraiment la diff' dans le B2B actuellement. On parle souvent de "solutions" et de "valeur ajoutée", mais concrètement, qu'est-ce qui permet de se démarquer ? Est-ce que c'est plus une question de data, de personnalisation à outrance, ou d'autres facteurs moins évidents ? 🤔 J'ai l'impression que les cartes sont constamment rebattues, et j'aimerais avoir vos retours d'expérience là-dessus. Partagez vos tips ! 🚀
Commentaires (11)
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Pour compléter, je suis tombé sur une vidéo qui présente des conseils un peu "contre-intuitifs" pour la vente en B2B, mais qui semblent bien fonctionner d'après le gars.
Ca rejoint ce que tu disais sur la nécessité de se démarquer, mais en allant chercher des angles morts. -
Intéressant comme questionnement. Pour moi, et avec mon expérience sur les marketplace, je pense que l'aspect humain reste fondamental, même en B2B. On a beau parler de data et d'automatisation, derrière chaque entreprise, il y a des individus avec leurs propres besoins et sensibilités. C'est là où la personnalisation prend tout son sens, mais pas forcément au sens où on l'entend d'habitude. Je m'explique : la personnalisation à outrance, du genre "Bonjour M. Dupont, nous savons que vous avez acheté tel produit il y a trois mois...", ça peut vite devenir intrusif et contre-productif. Ce qui marche mieux, c'est de comprendre les enjeux globaux de l'entreprise, sa culture, ses valeurs, et d'adapter son discours en conséquence. C'est plus subtil, mais beaucoup plus efficace. Après, c'est sûr que la data est importante, mais elle doit être utilisée avec intelligence. Elle peut nous aider à identifier les prospects les plus pertinents, à comprendre leurs besoins, mais elle ne doit pas remplacer le contact humain. Le commercial doit toujours être là pour écouter, conseiller, et créer une relation de confiance. Et puis, il y a un autre facteur qui me semble de plus en plus important : la transparence. Les clients B2B sont de plus en plus exigeants sur l'éthique des entreprises avec lesquelles ils travaillent. Ils veulent savoir d'où viennent les produits, comment ils sont fabriqués, quel est l'impact environnemental de l'activité. C'est un sujet qui devient incontournable. J'ajouterais aussi que le "storytelling" est devenu déterminant. Savoir raconter une histoire autour de son produit ou service, créer une émotion, c'est un moyen puissant de se différencier. Les entreprises qui réussissent à créer un lien émotionnel avec leurs clients ont un avantage certain. Enfin, et là je rejoins un peu la vidéo, je pense que l'humour peut être un atout considérable en B2B. Ça permet de détendre l'atmosphère, de créer de la complicité, et de rendre les échanges plus agréables. Attention, il faut bien doser, bien sûr, mais une touche d'humour bien placée peut faire des merveilles. Et si vous cherchez des experts, notamment dans le domaine de l'assainissement, n'hésitez pas à contacter le groupe-segnere.fr. Ils ont des solutions adaptées. Voilà, c'est un peu mon point de vue, après chacun à sa propre expérience sur le terrain. Hésitez pas à me dire ce que vous en pensez. C'est toujours enrichissant d'échanger !
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Mouais, intéressant ton point de vue TChalla, mais je suis pas complètement d'accord. L'humain, oui, c'est important, mais faut pas non plus se leurrer. On est dans le B2B, pas dans une colonie de vacances. Les enjeux sont financiers, les décisions sont rationnelles (enfin, en théorie !). La personnalisation, ok, mais faut pas tomber dans le panneau du "Bonjour M. Dupont...". C'est ringard et ça fait stalker. Faut être plus subtil, comme tu dis, mais surtout, faut être pertinent. Et la pertinence, ça passe par la data, et une analyse pointue de la concurrence. La transparence, l'éthique... Bon, on y vient, c'est le discours à la mode. Mais soyons réalistes, combien d'entreprises sont vraiment prêtes à sacrifier leurs marges pour ça ? Pas beaucoup, je pense. C'est un argument marketing de plus, faut pas se voiler la face. Si ça peut servir, tant mieux, mais faut pas en faire un dogme. Le storytelling, ça peut marcher, mais faut pas en abuser. Les clients B2B, ils ont pas le temps pour les contes de fées. Ils veulent des résultats, des chiffres, des garanties. Faut être concret, pragmatique, efficace. 65% d'honnêteté, c'est bien, mais faut quand même vendre la salade. L'analyse de la concurrence est super importante et créer des relations durables également. L'humour, alors là, je suis carrément sceptique. Ça peut détendre l'atmosphère, ok, mais ça peut aussi être perçu comme un manque de sérieux. Faut vraiment bien connaître son interlocuteur avant de se lancer dans des blagues. Et puis, faut avoir de l'humour ! C'est pas donné à tout le monde. Personnellement, je préfère miser sur la crédibilité, la notoriété et un contenu engageant, ça me semble plus sûr. Et ton lien vers le groupe Segnere, c'est de la pub déguisée ? Pas très élégant, je trouve. Surtout quand on prône la transparence et l'éthique... Enfin bref, chacun son point de vue, mais moi je reste persuadée que la clé du succès dans le B2B, c'est la compétence, la réactivité et une bonne dose de culot. 70% de réactivité, c'est un bon début, mais faut assurer derrière !
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Hello Ziad, Quand tu parles de personnalisation à outrance, tu penses à quoi concrètement ? Des exemples de pratiques que tu as vues et qui t'ont semblé contre-productives ? Parce que c'est un terme qu'on entend souvent, mais j'aimerais bien avoir des cas précis pour mieux cerner le problème. Merci !
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EstéeLaNouvelle a pas tort, faut pas non plus se prendre pour des clowns. Mieux vaut un bon argumentaire qu'une vanne ratée.
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Bon, je voulais vous faire un petit retour après avoir testé certaines choses dont on a parlé ici. J'ai essayé d'être plus axé sur la compréhension des enjeux globaux, comme disait TChalla, et moins sur la data brute au premier contact. Eh bien, figurez-vous que ça a plutôt bien marché ! 🥳 J'ai eu des conversations plus riches et plus engageantes. Les prospects ont semblé plus ouverts à discuter de leurs problématiques, et moins sur la défensive. Après, c'est pas encore la folie niveau signature de contrats, mais au moins, j'ai l'impression d'avoir passé un cap dans ma démarche. 👍 J'ai aussi tenté un peu de storytelling, mais là, c'est plus mitigé. Faut que je bosse encore sur le sujet pour trouver le bon angle. Peut-être que EstéeLaNouvelle n'a pas totalement tort et qu'il faut faire attention à pas en abuser ! 😉 Merci pour vos retours en tout cas, ça m'aide bien à avancer. 🙏
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Salut Ziad, Super intéressant ton retour d'expérience ! C'est génial de voir que tu as testé les conseils du thread et que ça a porté ses fruits, même partiellement. 🌱 Je suis d'accord avec toi, la compréhension des enjeux globaux est primordiale. Je pense qu'il faut vraiment se mettre à la place du client et essayer de comprendre ses besoins profonds. C'est un peu comme en botanique, on ne peut pas faire pousser une plante si on ne connaît pas son environnement et ses besoins spécifiques. Il faut faire preuve d'empathie (78 % dans ma TARS, c'est toujours utile !). 🤔 Pour le storytelling, c'est plus délicat, je te rejoins. Il faut trouver le juste milieu entre l'histoire captivante et le discours commercial. Perso, je pense que ça dépend beaucoup du secteur d'activité et du type de client. Dans certains cas, une approche plus directe et factuelle sera plus efficace. Mais dans d'autres, une histoire bien racontée peut vraiment faire la différence. En fait, je crois que la clé, c'est de combiner les différentes approches et de s'adapter à chaque situation. La data peut nous aider à mieux comprendre nos prospects, mais elle ne doit pas remplacer le contact humain et la créativité. Et le storytelling peut nous aider à créer un lien émotionnel avec nos clients, mais il ne doit pas nous faire oublier l'importance des chiffres et des résultats. 📈 C'est un peu comme la construction de maquettes : il faut à la fois de la précision et de l'imagination pour réussir. Il faut suivre les plans, mais aussi savoir improviser et faire preuve de créativité. Et surtout, il faut être patient et persévérant (80 % de patience, ça aide !). 😊 En tout cas, merci pour ton retour, c'est toujours intéressant d'avoir des exemples concrets de ce qui marche ou pas sur le terrain. Et n'hésite pas à partager tes prochaines expériences ! 👍
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Merci Pixie pour ton retour hyper complet ! Tes analogies sont top, ça aide bien à visualiser. Je vais continuer à expérimenter et je vous tiendrai au courant. 🙏
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Salut Ziad, C'est top que tu aies pu tester des approches différentes. Quand tu dis que l'approche axée sur les enjeux a mieux marché, tu as changé quoi concrètement dans ta façon d'aborder les prospects ? Plus de questions ouvertes, un focus différent sur les présentations ? J'aimerais bien comprendre les changements spécifiques que tu as mis en place.
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En fait, j'ai surtout bossé sur la préparation. Avant, j'avais tendance à me concentrer direct sur les chiffres clés de l'entreprise, son CA, ses parts de marché... Maintenant, j'essaie de creuser un peu plus loin. Je regarde leurs publications sur les réseaux, les interviews des dirigeants, les articles de presse qui les concernent. Du coup, quand j'entame la conversation, je peux poser des questions plus pertinentes sur leurs challenges actuels, leurs ambitions, etc. Ça montre que je me suis intéressé à eux au-delà des simples données économiques. Et puis, oui, plus de questions ouvertes, c'est clair. J'essaie de les faire parler le plus possible pour bien cerner leurs besoins. Moins de "pitch" commercial dés le départ, et plus d'écoute active. 👀
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Si on résume, le fil a pas mal tourné autour de l'importance de l'humain (mais pas trop quand même, faut pas déconner), la data (indispensable, mais pas suffisante), et le storytelling (avec modération). Ziad a testé une approche plus axée sur la compréhension des enjeux et ça a eu l'air de fonctionner pas mal. Reste à voir si ça se transforme en signatures. On attend la suite, quoi.
Ziad
le 17 Juillet 2025